> Citation de Jean Echenoz (n° 149180) - - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation : - Note moyenne : 4.63 /5 (sur 466 votes) Et puis tu sais comme est l'amour, toujours pareil, c'est la compassion ou le reflet.Un an (1997) de . Courir ne déroge pas à la règle. de Minuit, 142 p., 13,50 €. Echenoz commence par définir sa manière de courir en l’opposant à celle des « coureurs esthètes » qui donnent l’impression de voler ou de danser lorsqu’ils courent. À travers le portrait de cet homme extraordianaire qui commence sa vie professionnelle comme ouvrier fabricant de chaussure dans la grande usine Bata, Jean … "Courir" - Jean Echenoz - Les éditions de minuit - 142 pages. A premier vue Jean Echenoz écrivant de « Courir » dit que l’on doit s’entraîner pour être plus performant. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Mais ce n’est pas une biographie. Il signale une appropriation, un léger et nécessaire décalage par rapport au sujet réel : le coureur tchèque, avec son nom, sa biographie, son caractère, ses records. Voici l’homme qui va courir le plus vite sur la Terre. Après s'être intéressé à Maurice Ravel dans l'oeuvre éponyme, Jean Échenoz, avec Courir, signe une biographie romancée du coureur de fond Émile Zatopek. Comme l’écrit Echenoz d’Émile à la page 130, « c’est compliqué ». Après le "printemps de Prague", il prend position en faveur d'Alexandre Dubcek. Courir (2008) de . Découvrez Courir le livre de Jean Echenoz sur decitre.fr - 3ème libraire sur Internet avec 1 million de livres disponibles en livraison rapide à domicile ou en relais - 9782356410580 Certes, Echenoz écrit dans la foulée d’Émile, se coulant dans le rythme heurté et syncopé de ses courses, mimant jusqu’à la boucle du stade. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Tout ça est bien joli sauf qu’un patronyme, on peut lui faire dire ou évoquer ce qu’on veut ». Histoire dont pas une date ne figure dans l'espace indépendant du roman. de Minuit, 2001. Courir - Jean Echenoz : Rentrée littéraire 2008 Émile est un garçon comme les autres, élevé dans une petite ville de Tchécoslovaquie au XXe siècle. Elles montrent des lycéens, tantôt en train de lire des pages du livre de Jean Echenoz, tantôt en train de courir dans le parc en tenue de jogging. Jean-Echenoz nous propose un portrait du champion de course Emil Zatopek. Courir Jean Echenoz Minuit, 2008 Emile s’initie à la course, et s’entraîne tellement que cela devient une obsession de performance. L’auteur choisit le ton de la confidence pour nous parler d’un champion hors du commun : Émile Zatopek. S'inscrire à la newsletter . A l’issue de la lecture et de l’analyse de ces quatre documents, on peut s’interroger : De quelle façon la politique agit-elle sur le … Selon vous, pourquoi la vitesse fascine-t-elle autant ?. « Loin des canons On n'en finirait pas de décliner les symptômes de sa banalité. A ce propos, adressons à l'écrivain un salut reconnaissant : sa manière élégante et joueuse de naviguer à la surface des flots noirs de l'inconscient nous libère, nous fait du bien. Il n’est pas sur la couverture du livre, n’en déplaise à Pierre Assouline, il est omniprésent dans son absence, comme lorsqu’Emile voit pour la première fois dans un journal local « ce drôle de nom qu’il ne connaissait pas sous cette forme imprimée, qu’il n’avait jamais vu comme ça, drôle d’effet de se retrouver avec cette nouvelle identité publique » (p. 20). On a dû insister pour qu’Emile se mette à courir. Il s’agit de Courir de Jean Echenoz.. Nullement, et en tout cas pas l'essentiel. Patrick Kéchichian. Certes pas n’importe quelle figure arbitrairement tirée de l’histoire officielle - de la musique pour Ravel, du … Certes pas n'importe quelle figure arbitrairement tirée de l'histoire officielle - de la musique pour Ravel, du sport pour Zatopek - mais choisie en raison de certaines caractéristiques ou bizarreries... En raison, osons le mot car il décrit rigoureusement le sujet de Courir, d'une idiosyncrasie (notion qui désigne la prédisposition d'un individu à réagir singulièrement à une impulsion ou une influence extérieure, à un défi sportif par exemple). Qui se forge un nom de victoire en victoire, – ce faisant « il a gagné un surnom. Jean Echenoz, Courir, Éditions de Minuit, 2008 (pp. La vitesse est souvent alliée au plaisir, au surpassement de soi mais elle rime aussi souvent avec la mort ce qui pour beaucoup amène au plaisir du risque. Il suit des cours de chimie dans l’idée d’être un jour autre chose qu’apprenti. Jusqu'aux deux tiers du livre, Emil Zatopek, sous la plume de Jean Echenoz, se nomme juste Emile. Jean Echenoz est un écrivain français né en 1947. Émile, sujet d’une biofiction : une vie imaginaire bien sûr, premier sens du mot, mais, surtout, un roman du nom, patronyme, gros titre en Une, étiquette et affiche de propagande. Comme il l'avait déjà fait dans Ravel, Echenoz utilise à nouveau la biographie comme moteur du romanesque. Par Patrick Grainville C'est un homme attachant qui évolue dans le milieu de la course de fond, un peu par hasard dans la Tchécoslovaquie du XXe siècle. Jean Echenoz le rejoint sur cette idée dans son roman, courir, dans l’édition de minuit en 2008 en citant l’exemple des pays de l’est. Courir de Jean Echenoz est la biographie romancée du légendaire champion de course de fond Emile Zatopek (1922-2000). Les pénuries de puces grippent les usines des constructeurs automobiles, de plus en plus dépendants à l’électronique, Epic Games lève un nouveau milliard de dollars et renforce ses liens avec Sony, « Elliott Management, le vieux renard dans la pharmacie GSK », Patrick Castel : « Il faut s’interroger sur la pertinence des nouvelles orientations de la politique immobilière en matière de santé ». Revue Communications N°92 Dossier Performance (Seuil) Il s’attache surtout à montrer le goût et le sens de l’effort de celui que l’on surnomma la « locomotive tchèque ». Simple de lire dans Courir la démonstration édifiante du lien essentiel du sport et de l’idéologie. Il veut être l’homme qui court le plus vite sur Terre. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. La course de fond est-elle une métaphore de l'écriture, comme pour Leiris la tauromachie ? Ils y sont arrivés à cheval, à moto, en voiture, en camion »), cercle vicieux d’une Histoire qui se répète, ne modifiant que les noms – ainsi la Tchécoslovaquie « a changé d’étiquette : de démocratie populaire, (elle) est devenue république socialiste, on ne voit pas bien la nuance, mais bon. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. La question est ailleurs : pourquoi diable la lecture d'Echenoz - et de Courir singulièrement - nous procure-t-elle une si parfaite jubilation ? C’est ainsi qu’il fonctionne. Zatopek est la figure du paradoxe — il avait le sport « en horreur », il a accumulé victoires et records ; il s’engage presque passivement dans le printemps de Prague de même qu’il était une icône malgré lui du régime communiste —, Émile porte un discours hors des normes, il est en ce sens un personnage littéraire, une de ces « machines à fiction » qu’Echenoz déclare aimer à monter, sous la forme d’une machine à courir, « un moteur exceptionnel sur lequel on aurait négligé de monter une carrosserie ». « Émile est inégalé, Émile est inégalable. Un jeu rapide qui permet de faire réviser aux élèves de BTS quelques termes de vocabulaire sur le thème de la vitesse et de la lenteur. Sociologue au Centre de sociologie des organisations, Sciences Po, Président du groupe parlementaire de La France insoumise, Publié le 09 octobre 2008 à 11h28 - Mis à jour le 09 octobre 2008 à 11h28, Netflix : profitez du 1er mois d'abonnement gratuit, Son-video.com : livraison gratuite dès 50€ d'achats, Cultura : livraison offerte dès 35€ d'achats, Code promo Canal Plus : -10% sur le Pack L'intégrale, Code promo Apple : -20% sur une sélection d'iPhones reconditionnés, Code promo Amazon : -30% sur une vaste sélection d'articles. L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! Parlons aujourd’hui du roman Courir de Jean Echenoz, ... internationaux du 1500 m aux 30 000m, il rafle toutes les médailles. La critique du dernier Echenoz pourrait tenir en deux paragraphes. Courir est une biographie romancée, consacrée à l'athlète Emil Zátopek, de Jean Echenoz parue le 9 octobre 2008 aux éditions de Minuit. Il travaille sur le visible, ou, pour mieux dire et se jouer des mots de cette époque, sur le manifeste. Parfois négligeant, il laisse cependant passer quelques fulgurances. résumé . Tout le roman d’Echenoz se donne et s’esquive dans cette page extraite du chapitre 13, dans son ironie jubilatoire sur les mots, qui se moquent de leurs doubles sens, dans son rythme si particulier, dans sa manière de mettre à distance (non) respectable les mythes tout faits pour forger une autre histoire, dans ses refus aussi, en particulier celui du nom : Zatopek. Sensiblement à la même époque, en 1999, l’essayiste Jean-Philippe DOMECQ dans son ouvrage intitulé « Ce que nous dit la vitesse », consacré au sport extrême qu’est la Formule 1, s’emploie à analyser le plaisir que procure la vitesse au volant. Échenoz nous invite à cheminer avec Émile Zatopek pendant une quinzaine d'année, des années 1930 à la fin des années 60. Par touches légères, entre ironie et indignation, il dépeint également l'ambiance politique de ces années dans une démocratie populaire qui tentait de gérer, à son bénéfice, la carrière de son champion. « Par maladresse ou par hubris, la Chine est en train de pousser les Européens dans les bras des Américains », Santé : « Ce n’est pas là où les dépenses sont les plus élevées que les résultats sont les meilleurs », Jean-Luc Mélenchon : « La France peut être le fer de lance d’une diplomatie du peuple humain », Taïwan : rester ferme avec la Chine sans la provoquer, Cinéma : des négociations sont désormais possibles sur une sortie concertée des films en salle, « Née quelque part », de Michèle Halberstadt : mémoire d’un patronyme, Pour Patrick Boucheron, « l’histoire est une gymnastique de l’inquiétude, elle rapproche l’étranger et dépayse le familier », Nommé directeur musical de l’Opéra de Paris, Gustavo Dudamel ouvre une nouvelle ère, Sept secondes pour DiCaprio-Pitt, un an d’attente pour Dua Lipa, 196 mails pour Javier Bardem… Quand la couverture de « M » tourne au casse-tête, Des héroïnes, ordinaires ou célèbres, des mannequins, des militantes : les femmes, la grande affaire de « M », S’aimer comme on se quitte : « Avec elle, j’étais devenu une éponge à stress », Le klops : la recette de Stéphane Rotenberg. Repost 0. Les victoires sont instrumentalisées par la propagande communiste tchèque. Il serait rassurant de se concentrer sur la portée historique du texte, inédite chez Echenoz, sur sa manière de montrer comment un régime a pu exploiter la carrière d’un sportif avant de tenter de le détruire, après son ralliement au printemps de Prague, le radiant de l’armée, le déportant pendant six ans comme manutentionnaire dans des mines d’uranium, avant de le condamner à une autocritique et de l’enterrer, au moins symboliquement, dans les sous-sols du Centre d’information des sports. Mais c’est aussi le prénom plutôt que le nom, dans sa familiarité, sa proximité, sa singularité. La genèse du roman part de l'envie de Jean Echenoz d'écrire une œuvre littéraire consacrée à un sportif légendaire après avoir écrit la biographie romancée des dix dernières années de la vie de Maurice Ravel dans Ravel paru deux ans auparavant1. A l’issue de la lecture et de l’analyse de ces quatre documents, on peut s’interroger : De quelle façon la politique agit-elle sur le sport et réciproquement…. Tout au contraire, Émile n’a rien d’aérien puisqu’il semble « se creuser » comme « un terrassier ». Pour me faire une idée du personnage, que je ne connaissais vaguement que de nom, j'ai visionné quelques vidéos (ce qui a intrigué mon mari car la course à pied, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé). Le personnage est en revanche Émile, avec un e, francisé, pour permettre la distance fictionnelle et dire l’appropriation de la légende par l’écrivain Echenoz. Courir les mains dans les poches En 140 pages, Jean Echenoz réinvente avec grâce la vie d'Émile Zatopek, le légendaire champion de course à pied. II/ 2) La rapidité peut sauver des vies ou argument du corpus de Minuit, 142 p., 13,50 €. Il est à l’écoute de son corps, il met en place des techniques nouvelles d’entrainement tel que le système suédois, Gerschler ou encore celui d’Olander. Parution le 9 octobre. On oserait presque affirmer qu’il travaille ici hors piste, et de fait hors de toute pratique littéraire éprouvée, comme Émile à la « manière de courir impossible », au « style impur », « tout en tempos rompus, subtils changements de vitesse », tout son corps semblant « une mécanique détraquée, disloquée ». Ajouter à une liste; ... Je m'en vais / Jean Echenoz suivi de Dans l'atelier de l'écrivain / entretien réalisé par Geneviève Winter, Pascaline Griton et Emmanuel Barthélémy. Jean Echenoz est né en 1947 à Orange. Texte intégral . Émile, ses jambes sous le bras, est amené à parcourir le monde. Moto Gp Live Timing, Vu Sur Terre, Christelle Bardet Philippe Vaillant Et Sa Nouvelle Compagne, Ville Attractive France 2020, Yamaha Moto Gp Instagram, Fifa 21 Players Stats, Jacques Kossowski épouse, Mon Inconnue Film Streaming Gratuit, Luton Vs Qpr Forebet, " />

Ce n'est pas qu'il soit sot, non plus que spécialement intelligent. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. L'exposition "Jean Echenoz, Roman, Rotor, Stator" à la Bibliothèque Publique d'Information du Centre Pompidou est en accès libre jusqu'au 5 mars 2018, tous les jours sauf le mardi. maggie dit : 01/11/2016 à 11:06. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ayant arrêté sa carrière en 1957, colonel de l'armée et membre du Parti communiste, il devient fonctionnaire du ministère de la défense. Il occupe un emploi d’apprenti en usine, Bata à Zlin. Respectant la chronologie, Echenoz ne retient que quelques épisodes saillants de la carrière du sportif, certains traits de caractère, des anecdotes en nombre limité. Il est cette abstraction, cette « grâce » de la « simplicité ». Résumé : après avoir lu ensemble la Grande Course Flanagan de Tom McNab, venons-en, si vous le voulez bien, au second roman, objet de cette étude consacrée au caractère épique du sport. Il s’agit de Courir de Jean Echenoz.. Les visas sont difficiles à obtenir dans des pays où la liberté n'est pas à l'honneur. Car pour Echenoz, il ne s’agit pas de restituer la totalité du personnage, mais plutôt d’en dessiner un certain profil, très épuré : il s’attache surtout à montrer le goût et le sens de l’effort de celui que l’on surnomma « la locomotive tchèque », un homme jovial et naïf, jusque dans son acharnement à courir … Qu’Emile travaille la vitesse plus que l’endurance. Rien de bien neuf, toujours aussi peur, toujours aussi froid, tout ça traîne toujours dans la grisaille et la désespérance, les files d’attente et les lettres anonymes » -, ainsi l’histoire privée : manutentionnaire de l’usine Bata au début de sa vie, Emile devient manutentionnaire dans une mine d’uranium à la fin de son parcours, « ce qui pourrait lui rappeler ses affectations chez Bata, sauf qu’on y plaisante encore moins ». Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Ce qu’il ne comprend pas non plus, c’est que les autres, au stade, parlent chaque fois gravement de leur course, avec autant de sérieux que si ça l’était. Emile est aussi la figure du style d’Echenoz – « bizarre », malgré son évidente familiarité -, celui qui ne fait « jamais, jamais rien comme les autres même si c’est un type comme tout le monde » (p. 53). Comme pour Ravel (2006), l’intérêt et la qualité de Courir tiennent à l’art admirablement subtil, pesé au mot, à la virgule près, que Jean Echenoz déploie pour dessiner une figure. Réponse. Emile a quitté l’école ou ses parents n’avaient pas les moyens de le maintenir. Avec une conclusion du type "à lire sans tarder" ou "Echenoz au mieux de sa forme", tout serait-il ainsi dit ? Courir - Jean Echenoz Covid-19, paludisme, sida : l’immense bilan humain des pandémies actuelles, Pourquoi la dette publique n’est pas un problème (pour l’instant). Car Emile est aussi, depuis Rousseau, le nom consacré du personnage soumis à une éducation : celle du personnage d’Echenoz est pour le moins pesante. 4 commentaires sur “ [roman] « Courir » Jean Echenoz ” Ajouter un commentaire. Ce nom de Zatopek qui n’était rien, qui n’était rien qu’un drôle de nom, se met à claquer universellement en trois syllabes mobiles et mécaniques, valse impitoyable à trois temps, bruit de galop, vrombissement de turbine, cliquetis de bielles ou de soupapes scandé par le k final, précédé par le z initial qui va déjà très vite : on fait zzz et ça va tout de suite super vite, comme si cette consonne était un starter. L’auteur nous raconte avec talent quelques courses mythiques qui ont amenées Zatopek tout en haut de l’affiche, une gloire nationale et internationale qu’il n’a jamais recherchée. S’ils n’ont pas eu la même postérité, ne serait-ce pas, que chaque fois leur nom tombait moins bien, n’était pas fait pour ça, ne collait pas aussi étroitement que celui d’Émile avec cette discipline – sauf peut-être Mimoun dont le patronyme sonne, lui, comme souffle un des noms du vent. A plusieurs reprises il donne l’impression d’arrêter sa touche de clavier au moment où l’on va penser qu’il a du talent. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. Echenoz efface Zatopek et écrit Courir, narre Émile. Tout au long du roman, hormis cette courte incise, il distille un regard distancié, presque nonchalant, d’autant plus incisif, par des formules orales, des ruptures de construction, des modalisateurs pléonastiques (la récurrence des « peut-être… un peu »), construisant peu à peu, « l’air de rien », un roman étrange, novateur, qui ne ressemble à rien de ce que l’on a pu lire. Jean Echenoz, Courir, Editions de Minuit, 144 pages. DK en vacances et de retour le 19 avril 2021, 8 heures. Fiche n° 6 Courir, Jean Echenoz ... Fiche n° 28 « La vitesse », Avec mon meilleur souvenir, Françoise Sagan ..... 113 Fiche n° 29 Pétrole ! Voici l’homme qui va courir le plus vite sur la Terre. Ce qu’il ne comprend pas non plus, c’est que les autres, au stade, parlent chaque fois gravement de leur course, avec autant de sérieux que si ça l’était. L'auteur de Lac (1989, réédité chez Minuit dans la collection de poche "Double") raconte la vie du coureur de fond tchèque, Emil Zatopek. Texte | Citation | Auteur. Courir de Jean Echenoz est la biographie romancée du légendaire champion de course de fond Emile Zatopek (1922-2000). Comme si l'écrivain, après s'en être emparé, après cet hommage à sa façon, le rendait à sa propre histoire. Courir est aussi un dessin, une vignette, un portrait en traits sobres et économes. 1 Le parti pris de Roman Krakovský, dans cette étude de l’horizon spatial et temporel de l’individu sous le régime communiste tchécoslovaque, est d’analyser les différents programmes mis en œuvre par ce dernier. – Echenoz fait une short story, un court roman en 20 brefs chapitres, à l’ironie enjouée, indirecte. Echenoz raconte comme on court, l’histoire s’écrit comme on tourne en rond dans un stade. Partage; Partage désactivé Partage désactivé; Partage désactivé Envoyer par e-mail Jean Echenoz Auteur du livre Courir. Jean Echenoz, Courir, Minuit, 2008. A sa façon élégante et joueuse, l'écrivain emboîte le pas du sportif tchèque Emil Zatopek. Pas d'idéalisation. Jean Echenoz est né à Orange en 1947. L’auteur choisit le ton de la confidence pour nous parler d’un champion hors du commun : Émile Zatopek. Un jeu rapide qui permet de faire réviser aux élèves de BTS quelques termes de vocabulaire sur le thème de la vitesse et de la lenteur. dans Courir d'Echenoz II/ 1) Néanmoins dans certains domaines, la vitesse est la voie de l'excellence et de la reconnaissance : sports physiques et mécaniques, cinéma (d'action), virtuosité musicale Corpus ? La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer. Emile a quitté l’école ou ses parents n’avaient pas les moyens de le maintenir. Partager cet article. Éditeur : les Éd. Echenoz, la course en tête Après son mémorable "Ravel", l'écrivain raconte dans "Courir" la vie d'Emil Zátopek, l'homme qui courait le plus vite au monde dans les années 1950. Pendant les six années, les deux mille jours qui vont suivre, il sera l’homme qui court le plus vite sur Terre en longues distances. Plaisir que doit ressentir le pilote du quad photographié en 2007 par Jeffrey VAN DAELE. La mécanique Echenoz dans le marathon de la rentrée littéraire. Echenoz lui-même qualifie ses romans de « romans géographiques » au même titre que d’autres écrivent des « romans historiques ». Résultat, on les a oubliés, ce n’est pas plus compliqué, tant pis pour eux. • Jean Echenoz, Courir (2008) – biographie romancée du coureur Emil Zatopek • Cédric Gras, L'hiver aux trousses – récit de voyage • Jack Kerouac, Sur la route • Milan Kundera, La lenteur • Paul Morand, L'homme pressé • Georges Perec, Un homme qui dort • Émile Zola, La Bête humaine Votre avis sur nos contenus nous intéresse. Notre-Dame, Saint-Denis... Faut-il reconstruire les monuments détruits ? Ni glose, ni pose, une prose unique. Étant loin du milieu du sport mais ayant grandi dans les années 1950, la personnalité et les performances d'Emil Zátopek s'imposent rapidement à lui, au fil de ses … Il ne s'agit pas davantage de restituer la totalité de cette figure, mais un certain profil, une certaine ligne du visage, du corps, de la personne, de l'être même. Mais il écrit surtout d’une manière paradoxalement abstraite, alors que sa langue se donne comme familière, alors qu’il travaille sur un personnage connu, sur des exploits qui ont fait la Une des journaux. Il ne cesse plus d’accélérer. Bug de l’enseignement à distance : Jean Michel Blanquer et ses émissaires, Lokman Slim : « Comme sous la paupière d’un néant qui sommeille », Des lieux et des hommes : Chroniques syriennes, Archiver la révolution syrienne ? Ensuite, il a notamment obtenu le prix Médicis avec Cherokee en 1983 et le prix Goncourt en 1999 avec Je m'en vais. Appuyez sur Esc pour annuler. Avec le corrigé. C’est donc peut-être au fond ce nom qui a fait sa gloire, du moins puissamment contribué à la forger, on peut se demander. Jean Echenoz se refuse à toute psychologie, tout discours – sinon ironique et décalé – sur l’Histoire et l’histoire. C’est une abstraction, dont le coureur de fond, double de l’écrivain, donne la clé au chapitre 18 : Émile craint que le public australien « ne soit pas très habitué aux épreuves athlétiques, peu sensible à la grâce de leur simplicité, plutôt porté vers des sports moins abstraits ». Jean Echenoz le rejoint sur cette idée dans son roman, courir, dans l’édition de minuit en 2008 en citant l’exemple des pays de l’est. Emil Zàtopek, auquel Jean Echenoz a consacré un beau roman. Qu’Emile travaille la vitesse plus que l’endurance. Références de Jean Echenoz - Biographie de Jean Echenoz Plus sur cette citation >> Citation de Jean Echenoz (n° 149180) - - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation : - Note moyenne : 4.63 /5 (sur 466 votes) Et puis tu sais comme est l'amour, toujours pareil, c'est la compassion ou le reflet.Un an (1997) de . Courir ne déroge pas à la règle. de Minuit, 142 p., 13,50 €. Echenoz commence par définir sa manière de courir en l’opposant à celle des « coureurs esthètes » qui donnent l’impression de voler ou de danser lorsqu’ils courent. À travers le portrait de cet homme extraordianaire qui commence sa vie professionnelle comme ouvrier fabricant de chaussure dans la grande usine Bata, Jean … "Courir" - Jean Echenoz - Les éditions de minuit - 142 pages. A premier vue Jean Echenoz écrivant de « Courir » dit que l’on doit s’entraîner pour être plus performant. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Mais ce n’est pas une biographie. Il signale une appropriation, un léger et nécessaire décalage par rapport au sujet réel : le coureur tchèque, avec son nom, sa biographie, son caractère, ses records. Voici l’homme qui va courir le plus vite sur la Terre. Après s'être intéressé à Maurice Ravel dans l'oeuvre éponyme, Jean Échenoz, avec Courir, signe une biographie romancée du coureur de fond Émile Zatopek. Comme l’écrit Echenoz d’Émile à la page 130, « c’est compliqué ». Après le "printemps de Prague", il prend position en faveur d'Alexandre Dubcek. Courir (2008) de . Découvrez Courir le livre de Jean Echenoz sur decitre.fr - 3ème libraire sur Internet avec 1 million de livres disponibles en livraison rapide à domicile ou en relais - 9782356410580 Certes, Echenoz écrit dans la foulée d’Émile, se coulant dans le rythme heurté et syncopé de ses courses, mimant jusqu’à la boucle du stade. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Tout ça est bien joli sauf qu’un patronyme, on peut lui faire dire ou évoquer ce qu’on veut ». Histoire dont pas une date ne figure dans l'espace indépendant du roman. de Minuit, 2001. Courir - Jean Echenoz : Rentrée littéraire 2008 Émile est un garçon comme les autres, élevé dans une petite ville de Tchécoslovaquie au XXe siècle. Elles montrent des lycéens, tantôt en train de lire des pages du livre de Jean Echenoz, tantôt en train de courir dans le parc en tenue de jogging. Jean-Echenoz nous propose un portrait du champion de course Emil Zatopek. Courir Jean Echenoz Minuit, 2008 Emile s’initie à la course, et s’entraîne tellement que cela devient une obsession de performance. L’auteur choisit le ton de la confidence pour nous parler d’un champion hors du commun : Émile Zatopek. S'inscrire à la newsletter . A l’issue de la lecture et de l’analyse de ces quatre documents, on peut s’interroger : De quelle façon la politique agit-elle sur le … Selon vous, pourquoi la vitesse fascine-t-elle autant ?. « Loin des canons On n'en finirait pas de décliner les symptômes de sa banalité. A ce propos, adressons à l'écrivain un salut reconnaissant : sa manière élégante et joueuse de naviguer à la surface des flots noirs de l'inconscient nous libère, nous fait du bien. Il n’est pas sur la couverture du livre, n’en déplaise à Pierre Assouline, il est omniprésent dans son absence, comme lorsqu’Emile voit pour la première fois dans un journal local « ce drôle de nom qu’il ne connaissait pas sous cette forme imprimée, qu’il n’avait jamais vu comme ça, drôle d’effet de se retrouver avec cette nouvelle identité publique » (p. 20). On a dû insister pour qu’Emile se mette à courir. Il s’agit de Courir de Jean Echenoz.. Nullement, et en tout cas pas l'essentiel. Patrick Kéchichian. Certes pas n’importe quelle figure arbitrairement tirée de l’histoire officielle - de la musique pour Ravel, du … Certes pas n'importe quelle figure arbitrairement tirée de l'histoire officielle - de la musique pour Ravel, du sport pour Zatopek - mais choisie en raison de certaines caractéristiques ou bizarreries... En raison, osons le mot car il décrit rigoureusement le sujet de Courir, d'une idiosyncrasie (notion qui désigne la prédisposition d'un individu à réagir singulièrement à une impulsion ou une influence extérieure, à un défi sportif par exemple). Qui se forge un nom de victoire en victoire, – ce faisant « il a gagné un surnom. Jean Echenoz, Courir, Éditions de Minuit, 2008 (pp. La vitesse est souvent alliée au plaisir, au surpassement de soi mais elle rime aussi souvent avec la mort ce qui pour beaucoup amène au plaisir du risque. Il suit des cours de chimie dans l’idée d’être un jour autre chose qu’apprenti. Jusqu'aux deux tiers du livre, Emil Zatopek, sous la plume de Jean Echenoz, se nomme juste Emile. Jean Echenoz est un écrivain français né en 1947. Émile, sujet d’une biofiction : une vie imaginaire bien sûr, premier sens du mot, mais, surtout, un roman du nom, patronyme, gros titre en Une, étiquette et affiche de propagande. Comme il l'avait déjà fait dans Ravel, Echenoz utilise à nouveau la biographie comme moteur du romanesque. Par Patrick Grainville C'est un homme attachant qui évolue dans le milieu de la course de fond, un peu par hasard dans la Tchécoslovaquie du XXe siècle. Jean Echenoz le rejoint sur cette idée dans son roman, courir, dans l’édition de minuit en 2008 en citant l’exemple des pays de l’est. Courir de Jean Echenoz est la biographie romancée du légendaire champion de course de fond Emile Zatopek (1922-2000). Les pénuries de puces grippent les usines des constructeurs automobiles, de plus en plus dépendants à l’électronique, Epic Games lève un nouveau milliard de dollars et renforce ses liens avec Sony, « Elliott Management, le vieux renard dans la pharmacie GSK », Patrick Castel : « Il faut s’interroger sur la pertinence des nouvelles orientations de la politique immobilière en matière de santé ». Revue Communications N°92 Dossier Performance (Seuil) Il s’attache surtout à montrer le goût et le sens de l’effort de celui que l’on surnomma la « locomotive tchèque ». Simple de lire dans Courir la démonstration édifiante du lien essentiel du sport et de l’idéologie. Il veut être l’homme qui court le plus vite sur Terre. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. La course de fond est-elle une métaphore de l'écriture, comme pour Leiris la tauromachie ? Ils y sont arrivés à cheval, à moto, en voiture, en camion »), cercle vicieux d’une Histoire qui se répète, ne modifiant que les noms – ainsi la Tchécoslovaquie « a changé d’étiquette : de démocratie populaire, (elle) est devenue république socialiste, on ne voit pas bien la nuance, mais bon. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. La question est ailleurs : pourquoi diable la lecture d'Echenoz - et de Courir singulièrement - nous procure-t-elle une si parfaite jubilation ? C’est ainsi qu’il fonctionne. Zatopek est la figure du paradoxe — il avait le sport « en horreur », il a accumulé victoires et records ; il s’engage presque passivement dans le printemps de Prague de même qu’il était une icône malgré lui du régime communiste —, Émile porte un discours hors des normes, il est en ce sens un personnage littéraire, une de ces « machines à fiction » qu’Echenoz déclare aimer à monter, sous la forme d’une machine à courir, « un moteur exceptionnel sur lequel on aurait négligé de monter une carrosserie ». « Émile est inégalé, Émile est inégalable. Un jeu rapide qui permet de faire réviser aux élèves de BTS quelques termes de vocabulaire sur le thème de la vitesse et de la lenteur. Sociologue au Centre de sociologie des organisations, Sciences Po, Président du groupe parlementaire de La France insoumise, Publié le 09 octobre 2008 à 11h28 - Mis à jour le 09 octobre 2008 à 11h28, Netflix : profitez du 1er mois d'abonnement gratuit, Son-video.com : livraison gratuite dès 50€ d'achats, Cultura : livraison offerte dès 35€ d'achats, Code promo Canal Plus : -10% sur le Pack L'intégrale, Code promo Apple : -20% sur une sélection d'iPhones reconditionnés, Code promo Amazon : -30% sur une vaste sélection d'articles. L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! Parlons aujourd’hui du roman Courir de Jean Echenoz, ... internationaux du 1500 m aux 30 000m, il rafle toutes les médailles. La critique du dernier Echenoz pourrait tenir en deux paragraphes. Courir est une biographie romancée, consacrée à l'athlète Emil Zátopek, de Jean Echenoz parue le 9 octobre 2008 aux éditions de Minuit. Il travaille sur le visible, ou, pour mieux dire et se jouer des mots de cette époque, sur le manifeste. Parfois négligeant, il laisse cependant passer quelques fulgurances. résumé . Tout le roman d’Echenoz se donne et s’esquive dans cette page extraite du chapitre 13, dans son ironie jubilatoire sur les mots, qui se moquent de leurs doubles sens, dans son rythme si particulier, dans sa manière de mettre à distance (non) respectable les mythes tout faits pour forger une autre histoire, dans ses refus aussi, en particulier celui du nom : Zatopek. Sensiblement à la même époque, en 1999, l’essayiste Jean-Philippe DOMECQ dans son ouvrage intitulé « Ce que nous dit la vitesse », consacré au sport extrême qu’est la Formule 1, s’emploie à analyser le plaisir que procure la vitesse au volant. Échenoz nous invite à cheminer avec Émile Zatopek pendant une quinzaine d'année, des années 1930 à la fin des années 60. Par touches légères, entre ironie et indignation, il dépeint également l'ambiance politique de ces années dans une démocratie populaire qui tentait de gérer, à son bénéfice, la carrière de son champion. « Par maladresse ou par hubris, la Chine est en train de pousser les Européens dans les bras des Américains », Santé : « Ce n’est pas là où les dépenses sont les plus élevées que les résultats sont les meilleurs », Jean-Luc Mélenchon : « La France peut être le fer de lance d’une diplomatie du peuple humain », Taïwan : rester ferme avec la Chine sans la provoquer, Cinéma : des négociations sont désormais possibles sur une sortie concertée des films en salle, « Née quelque part », de Michèle Halberstadt : mémoire d’un patronyme, Pour Patrick Boucheron, « l’histoire est une gymnastique de l’inquiétude, elle rapproche l’étranger et dépayse le familier », Nommé directeur musical de l’Opéra de Paris, Gustavo Dudamel ouvre une nouvelle ère, Sept secondes pour DiCaprio-Pitt, un an d’attente pour Dua Lipa, 196 mails pour Javier Bardem… Quand la couverture de « M » tourne au casse-tête, Des héroïnes, ordinaires ou célèbres, des mannequins, des militantes : les femmes, la grande affaire de « M », S’aimer comme on se quitte : « Avec elle, j’étais devenu une éponge à stress », Le klops : la recette de Stéphane Rotenberg. Repost 0. Les victoires sont instrumentalisées par la propagande communiste tchèque. Il serait rassurant de se concentrer sur la portée historique du texte, inédite chez Echenoz, sur sa manière de montrer comment un régime a pu exploiter la carrière d’un sportif avant de tenter de le détruire, après son ralliement au printemps de Prague, le radiant de l’armée, le déportant pendant six ans comme manutentionnaire dans des mines d’uranium, avant de le condamner à une autocritique et de l’enterrer, au moins symboliquement, dans les sous-sols du Centre d’information des sports. Mais c’est aussi le prénom plutôt que le nom, dans sa familiarité, sa proximité, sa singularité. La genèse du roman part de l'envie de Jean Echenoz d'écrire une œuvre littéraire consacrée à un sportif légendaire après avoir écrit la biographie romancée des dix dernières années de la vie de Maurice Ravel dans Ravel paru deux ans auparavant1. A l’issue de la lecture et de l’analyse de ces quatre documents, on peut s’interroger : De quelle façon la politique agit-elle sur le sport et réciproquement…. Tout au contraire, Émile n’a rien d’aérien puisqu’il semble « se creuser » comme « un terrassier ». Pour me faire une idée du personnage, que je ne connaissais vaguement que de nom, j'ai visionné quelques vidéos (ce qui a intrigué mon mari car la course à pied, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé). Le personnage est en revanche Émile, avec un e, francisé, pour permettre la distance fictionnelle et dire l’appropriation de la légende par l’écrivain Echenoz. Courir les mains dans les poches En 140 pages, Jean Echenoz réinvente avec grâce la vie d'Émile Zatopek, le légendaire champion de course à pied. II/ 2) La rapidité peut sauver des vies ou argument du corpus de Minuit, 142 p., 13,50 €. Il est à l’écoute de son corps, il met en place des techniques nouvelles d’entrainement tel que le système suédois, Gerschler ou encore celui d’Olander. Parution le 9 octobre. On oserait presque affirmer qu’il travaille ici hors piste, et de fait hors de toute pratique littéraire éprouvée, comme Émile à la « manière de courir impossible », au « style impur », « tout en tempos rompus, subtils changements de vitesse », tout son corps semblant « une mécanique détraquée, disloquée ». Ajouter à une liste; ... Je m'en vais / Jean Echenoz suivi de Dans l'atelier de l'écrivain / entretien réalisé par Geneviève Winter, Pascaline Griton et Emmanuel Barthélémy. Jean Echenoz est né en 1947 à Orange. Texte intégral . Émile, ses jambes sous le bras, est amené à parcourir le monde.

Moto Gp Live Timing, Vu Sur Terre, Christelle Bardet Philippe Vaillant Et Sa Nouvelle Compagne, Ville Attractive France 2020, Yamaha Moto Gp Instagram, Fifa 21 Players Stats, Jacques Kossowski épouse, Mon Inconnue Film Streaming Gratuit, Luton Vs Qpr Forebet,